Michel BOUFFIER
Les enfants du Moulin
Après une croisière ferroviaire jusqu'en Avignon, un peu mouvementée parce que riche en petits évènements ordinaires qui l'amusent ou l'inquiètent, le Miquéu, jeune garçon de neuf ans, arrive sans embûche jusque chez ses grands parents, modestes agriculteurs près de Forcalquier. Là , commence pour ce petit citadin naïf, la vraie vie. Celle où il va se trouver confronté, volontairement ou pas, aux péripéties inédites et pagnolesques que les multiples activités de la vie rurale vont lui procurer.
A travers des descriptions imagées et pleines de verve, l'auteur relate ainsi les actes et les relations caractérisitiques de la vie quotidienne d'une petite ferme provençale, les jeux des enfants et les émotions créées par la vie ou imposées par la mort.
Roman autobiographique, imprimé aux Editions du Fournel
Les enfants du Moulin. Michel Bouffier
"Une enfance pagnolesque"
"Une immersion réussie dans les Basses Alpes des années 60, où humour, mélancolie et émotions se marient à merveille. ..."
"A la manière d'un Pagnol ou de Jean Giono (que son grand père côtoie régulièrement et qui donnera son nom, Bouffier, au héros du roman "L'homme qui plantait les arbres")..."
La Tribune de Montélimar 26/12/13
Les enfants du Moulin. Michel Bouffier
"Avec "Les enfants du Moulin" Michel Bouffier signe son premier roman aux couleurs de la ruralité..... Il y dit aussi tout son attachement à ce milieu rural où il s'est épanoui..."
Le Dauphiné Libéré du 8/01/
Les enfants du Moulin. Michel Bouffier
Les enfants du Moulin
"...Ah ! l’introduction de la traite électrique dans l’étable des Marguerite,Myosotis ou Charlotte. Car les vaches aussi ont des prénoms. De même pour Bijou et Papillon les deux solides chevaux de trait de la ferme de l’oncle.
Oh ! l’évocation des senteurs de bouses de vache raclées à même le sol glissant ou encore les coups de queue dans le visage alors que l’on effleure précautionneusement un pis de vache pour en extraire le lait.
Eh, eh ! les qualificatifs utilisés pour désigner des familiers (la Mémé, la Mado, le Raymond, le Pierre, l’Antonin, le Médor), signe d’une relation à l’autre (personnes ou animaux) teintée de sympathie..................."
"...Les péripéties de cette enfance heureuse, relatées avec humour et parfois gravité, sont mises en valeur à travers une prose joviale, allègre où voisinent des phrases d’une haute qualité syntaxique, agrémentée d’expressions typiquement provençales. On est entre du Giono et du Pagnol, et cela nous fait chaud à l’esprit."
Gérard MOLINES, professeur agrégé d'histoire - géographie
Les enfants du Moulin. Michel Bouffier